Espace

Un vaisseau pas plus grand qu’un trombone pourrait un jour filer vers un trou noir pour tester les lois de la physique dans des conditions extrêmes, selon l’astrophysicien Cosimo Bambi.

Quelques semaines après une explosion spectaculaire sur son pas de tir au Texas, Starship se prépare à relever son plus grand défi.

À 17 milliards d’années-lumière de la Terre, une galaxie baptisée JWST‑ER1 intrigue profondément les astrophysiciens. Le télescope spatial James Webb l’a observée avec une précision exceptionnelle.

Invisible mais omniprésente, la matière noire compose près de 80 % de la matière de l’Univers. Pourtant, personne ne l’a jamais observée directement. Aujourd’hui, un physicien propose deux nouvelles pistes qui pourraient changer notre manière de la chercher.

Bonne nouvelle : encore très peu observé dans l’Univers et intriguant les scientifiques depuis des années, un mystérieux trou noir de masse intermédiaire (IMBH) vient tout juste d'être identifié à nouveau.

Bien avant l’apparition des dinosaures, un astéroïde colossal a frappé la Terre avec une puissance inimaginable. Baptisé S2, il était jusqu’à 200 fois plus grand que celui qui a provoqué l’extinction des dinosaures.

L’Australie attendait ce moment depuis plus de 50 ans : voir une fusée développée sur son sol prendre son envol. Mais le 29 juillet, la fusée Eris, conçue par la société Gilmour Space, n’a volé que 12 secondes avant de s’écraser près de son pas de tir. Derrière l’échec technique, c’est tout l’état de santé du spatial australien qui se retrouve en question.

En avril, l’annonce a secoué la communauté scientifique : une équipe internationale a affirmé avoir trouvé un indice sérieux de vie sur K2-18b, une planète située à 124 années-lumière.

L’observation d’une étoile géante a révélé qu’elle se trouvait au cœur d’une bulle géante de poussière et de gaz. D’un diamètre de moitié inférieur à celui du Système solaire, cette structure ne peut actuellement être expliquée.

Une collision galactique dessine un symbole d’infini dans le cosmos, révélant un trou noir supermassif né directement du gaz interstellaire. Une découverte qui pourrait révolutionner notre compréhension des débuts de l’univers.

Ce vendredi 1er août, l'agence spatiale européenne (ESA) a dévoilé l'image du mois du télescope spatial James Webb. Digne successeur de Hubble, il revisite une région clé du ciel et révèle plus de 2 500 galaxies.

La dissipation de l'oxygène pourrait commencer plus tôt qu'on ne le pense. Des chercheurs de la NASA et de l'université Toho annoncent qu'une lente asphyxie rendra la Terre inhabitable.

Récemment, une cinquième planète a été détectée dans la zone habitable d'une étoile voisine. Les conditions pourraient peut-être soutenir l'eau liquide et potentiellement la vie.

Il existe des scènes que l'on imagine seulement dans les films de science-fiction. Pourtant, elles se produisent réellement dans les profondeurs de l’espace. C’est le cas avec la récente observation du télescope Hubble, qui a capté un trou noir en train de dévorer une étoile. Un spectacle à la fois fascinant et terrifiant, qualifié de sans précédent par la NASA.

On pensait avoir tout vu. Et pourtant, l’univers continue de nous surprendre. Avec l’arrivée de 3I/ATLAS, un objet interstellaire aux caractéristiques déroutantes, les astronomes vivent un moment de véritable sidération scientifique. Il ne ressemble à rien de connu.

Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, la première impression qu'une civilisation extraterrestre aurait de nous ne proviendrait probablement pas de nos émissions de télévision ou de radio. Ce sont plutôt les radars utilisés dans les aéroports, en particulier ceux à usage militaire, qui pourraient involontairement révéler l'existence de la Terre à des civilisations extraterrestres avancées.

La fusée s’élève dans un nuage incandescent, marquant le début de son voyage vers l’espace.

Depuis maintenant trois ans, le télescope James Webb révolutionne notre vision du cosmos. Cette fois, il a scruté la Nébuleuse du Chat (NGC 6334) et révélé une scène étonnamment riche : un patch abandonné surnommé “mini toe bean”

Chaque été, c’est la même scène : les réseaux s’illuminent de photos du ciel, les gens sortent des draps sur l’herbe et tout le monde lève le nez. Car les Perséides, cette pluie d’étoiles filantes la plus connue de l’année, reviennent à nouveau.

En décortiquant les données collectées par une sonde de la NASA, des astronomes ont découvert que le puissant champ magnétique de Jupiter et les propriétés uniques de son plasma produisaient un type d’onde « extraterrestre » jamais observé auparavant.