Les super-héros fascinent les petits comme les grands depuis de nombreuses années et ce, sur différents supports : des bandes dessinées aux films en passant par les séries et les jeux vidéo, chacun d’entre eux a son propre passé, son propre scénario, chaque histoire possède sa propre richesse. C’est le cas de The Flash, le super-héros de l’univers de DC Comics dont l’histoire a été adaptée en série télévisée en 2014, pour le plus grand bonheur de ses fans. Entre références et secrets de tournage, découvrez 15 anecdotes décoiffantes sur cette adaptation à succès.
The Flash est une série télévisée américaine créée par Greg Berlanti, Andrew Kreisberg et Geoff Johns. Sa première diffusion s’est effectuée le 7 octobre 2014 simultanément avec le Canada, avant d’arriver en France le lendemain en version originale sous-titrée, puis le 1er juillet 2015 en version française. Tirée directement de l’univers DC Comics, il s’agit d’une série dérivée d’une autre série télévisée, Arrow. Par ailleurs, vous pourrez lire dans cet article que des clins d’oeil à cette source d’inspiration sont retrouvés un peu partout au fil des épisodes.
1 – Flash, le retour
Henry, le père de Barry Allen (l’alter ego de The Flash) est incarné par John Wesley Shipp, qui n’est d’autre que le même acteur qui jouait Barry Allen dans la série The Flash de 1990.
2 – Un sériephile dans le casting
En référence à The Big Bang Theory et plus précisément au personnage de Sheldon Cooper, Cisco a porté un t-shirt « Bazinga » ainsi qu’un autre t-shirt avec inscrit dessus « Rock/Paper/Scissors/Lizard/Spock ».
3 – La Lanterne en easter egg
Quand Barry montre son pouvoir à S.T.A.R Labs (le laboratoire de recherches qui l’a « embauché » lorsqu’il a reçu ses pouvoirs), la caméra tourne afin de mettre en avant une publicité pour Ferris Air. Il s’agit en fait d’une allusion à un autre super-héros de l’univers de DC Comics, Green Lantern, pour lequel Ferris Air n’est autre que l’employeur de son alter ego Hal Jordan.
4 – Des crossovers en veux-tu en voilà
Sur la fresque murale du département de police, nous pouvons voir des références à The Flash et à Arrow. En effet, nous pouvons y apercevoir le dieu Hermès, qui porte le casque ailé utilisé par Flash, mais également Apollon, représenté comme un archer (à l’instar de Arrow).
5 – Pas de spoilers !
Afin de garder l’identité de Reverse-Flash (son super-vilain associé) secrète, sur le tournage de l’épisode 9, c’est une doublure qui portait le costume. La production souhaitait que l’identité du vilain ne soit pas révélée avant l’annonce officielle faite dans la série.
6 – Une histoire de famille
Le fiancé de Caitlin Snow, Ronnie, est joué par Robbie Amell, le cousin de Stephen Amell (qui joue Arrow). Ceci est encore une preuve que les deux séries sont étroitement liées.
7 – Des lieux communs aux spin-offs
Un autre point reliant de près la série The Flash à Arrow est Iron Heights Prison. En effet, il s’agit de la même prison qui est utilisée dans Arrow, là où Moira Queen (mère de Oliver Queen, l’alter ego de Arrow) est détenue.
8 – La chauve-souris en invitée ?
Dans le premier épisode de la série, on peut lire sur le journal futuriste du Dr Wells un article faisant référence aux entreprises Wayne, qui n’est autre que le nom de famille de Bruce Wayne, l’alter ego de Batman, autre grand héros de DC Comics.
9 – Une équipe de choc attendue par les fans
Lors de la conversation entre Barry et Gideon (une intelligence artificielle venue du futur utilisée par Reverse-Flash, son ennemi), celle-ci lui dit qu’il est le « membre fondateur de… » avant de se couper. Grâce au comics utilisé pour réaliser cet épisode, nous savons que le mot suivant aurait été « justice », en référence directe à la Ligue des Justiciers.
10 – Une adaptation – presque – fidèle
Alors que la corruption policière est monnaie courante dans les films et les comics de l’univers DC, les agents de police dans la série semblent tous plus ou moins honnêtes. Tandis que l’agent Joe West (Jesse L. Martin) a été créé uniquement pour les besoins de la série, tous ses collègues ont été tiré des comics.
11 – Une histoire d’amour qui n’attend pas
Alors que Barry retourne à son labo après avoir travaillé sur le meurtre de sa mère, une émission télé révèle qu’il y a eu une catastrophe avec l’accélérateur de particules de S.T.A.R Labs. Cette histoire est racontée par une journaliste nommée Linda Park, qui est également connue pour être la future femme de Flash.
12 – Un élément d’importance
Un autre gros clin d’oeil au comics n’est autre que la chaîne de cafés « Jitters » qui a été réadaptée aux besoins de la série. Présente sur le lieu de travail de Iris, cela sert également à montrer à quel point les habitants de Central City sont attachés à leur café du matin.
13 – Retour en 1956
Un autre clin d’oeil très subtil est présent au sein de la série. En effet, alors que Barry n’a pas encore connaissance de ses pouvoirs, une serveuse fait tomber son plateau et il en résulte que le temps semble comme ralenti, lui permettant de comprendre qu’il s’agit en fait de lui qui se déplace à une vitesse faramineuse. Malgré le fait que cette façon de découvrir ses pouvoirs peut sembler farfelue, cette scène est tirée du comics datant de 1956.
14 – Un remède efficace aux catastrophes naturelles
Alors que Clyde Mardon (un homme ayant reçu le pouvoir de contrôler la météo) décide de créer une énorme tornade pour raser la ville, Barry trouve l’idée de courir dans le sens inverse de la tornade pour la faire disparaître. Cette idée, bien qu’inhabituelle venant de ce héros, est simplement reprise du comics datant de 1969, dans la mesure où Barry apprend qu’il peut annuler des tornades en courant aussi vite dans la direction opposée.
15 – DC Comics aime la junk food
Alors que le « Big Belly Burger » était introduit dans la série Arrow, il semblerait que cette chaîne de restaurants soit également présente dans The Flash. Dans le monde de DC Comics, sachez que ce restaurant appartenait d’abord à Lex Luthor, l’ennemi juré de Batman, et était placé dans la ville de Coast City, ville dont Hal Jordan (Green Lantern) est originaire. Tout un tas de références pour un simple restaurant.
Avec une audience de plusieurs millions de téléspectateurs, The Flash a su remettre fidèlement à l’écran le comics, ainsi que rajeunir la série datant de 1990. Les réalisateurs ont su placer au sein des épisodes de nombreux clins d’oeil à l’univers de DC Comics, ainsi que des références à la série dont elle est déclinée, Arrow. Ces différents éléments ont su donner au public un fil conducteur accrocheur qui est un véritable plus pour les aventures du héros le plus rapide de la planète.
Par Mathias Boulain, le
Source: Flash
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